L’idée est plus que bien accueillie par les marchands pour qui les patates posaient problème. «Le concept de la distributrice vient de Belgique où j’en ai fait l’acquisition (10 000 $ pièce), explique Mario Rose. Je les ai adaptées au Canada. Le problème avec les patates en vrac dans les comptoirs c’est les pertes qui peuvent atteindre 50 % à cause de la lumière et elles nécessitent beaucoup de triage. Avec les distributrices, elles sont à la noirceur et ne verdissent pas. Les pertes sont minimes.» Deux autres distributrices devraient être installées dans les mois à venir, probablement aussi dans des IGA, avec lesquels le producteur est actuellement en discussion pour une entente exclusive. M. Rose s’est aussi entendu avec l’entreprise belge pour devenir le distributeur exclusif des distributrices au Canada. Il serait, selon lui, actuellement le seul à offrir ce concept en Amérique. Rapport